Après 26 ans, elle rencontre l’homme qui lui a tiré sur le visage : voici une histoire au final inattendu
Souvent, les actions inconscientes de l’adolescence changent à jamais la vie et celle des autres. L’histoire que nous sommes sur le point de présenter a un début semblable à beaucoup d’autres, mais une fin tout à fait singulière, ce qui nous conduit inévitablement à réfléchir dessus.
Il faut revenir en arrière, en 1990, pour la raconter, quand Ian Manuel a utilisé son arme à feu à quelques centimètres du visage de Debbie Baigrie…
Ian Manuel vivait dans l’une des zones les plus malfamées de Tampa, en Floride. Le soir de l’incident tragique, il était en compagnie d’un ami de son âge et d’un pistolet volé.
Il a décidé de s’approcher d’une jeune femme, Debbie, depuis peu mère de deux enfants. Elle était avec des amis, c’était sa première sortie après l’accouchement.
Presque sans raison, Ian a pointé le pistolet sur son visage, puis a tiré.
Pris par la police après une courte fugue, Ian a reconnu sa culpabilité.
L’issue du procès a été spectaculaire: le juge a décidé d’infliger au jeune homme une « punition exemplaire » et l’a condamné à l’emprisonnement à vie dans une prison pour adultes.
Deux ans après le terrible fait, Debbie a reçu un appel de l’homme qui a essayé de la tuer sans raison. Ian lui a dit :
« Mme Baigrie, c’est Ian. Je voulais juste vous dire que j’étais mortifié d’avoir tiré et je voulais souhaiter à elle et à toute sa famille un Joyeux Noël »
Le cœur de Debbie s’est mis à battre avec frénésie.
« J’étais bouleversée parce que le souvenir de cette nuit était encore bien vivant. Mais il m’a appelé pour présenter ses excuses. J’ai trouvé que c’était un geste singulier, unique en particulier pour un jeune de son âge »
A partir de ce jour, entre les deux a commencé un échange de lettres qui a finalement abouti à une amitié. La femme a été surprise par l’intelligence de ce jeune, compte tenu du fait qu’il n’a jamais fréquenté régulièrement l’école.
L’intervention d’un juge a libéré Ian pour bonne conduite, après 26 ans de prison. A sa sortie, Debbie et Ian se sont rencontrés quelques pâtés de maisons du lieu où il lui a tiré dessus.
Ian et Debbie se sont depuis pris une pizza, pour se parler enfin les yeux dans les yeux, pour clarifier les erreurs du passé et discuter des plans pour l’avenir.
« J’ai fait quelque chose que je voulais faire depuis des années : l’embrasser au même endroit où la balle l’a touchée », a déclaré Ian : ce fut sa façon de présenter ses excuses.
Maintenant, Ian fait tout pour effacer son passé en prison et commencer une nouvelle vie. Après toutes ces années, s’intégrer dans la société est très difficile, mais Debbie lui offre toute l’aide possible.
Pour Debbie, cela a été certainement un geste courageux et risqué. Cette femme a une capacité de pardon que nous n’avons pas tous…
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Patrick commentaire :
Il faut croire au pardon et à la rédemption des gens ! Et cette histoire finit merveilleusement bien, et elle prouve que l’amour et le pardon sont les solutions !
On n’est jamais trop mauvais pour Jésus… Qu’est-ce que cela signifie ? Que Jésus a payé le prix ultime pour nous donner une chance de transformer le mal en bien dans notre vie !
Rappelez-vous lors de la crucifixion de Jésus sur la croix, deux malfaiteurs étaient à ses côtés souffrant de la même peine que lui. Et qu’est-il arrivé ?
« Et l’un des malfaiteurs qui étaient pendus l’injuriait, disant: N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi » (Luc 23 :39)
Mais l’autre, répondant, le reprit, disant :
« Et tu ne crains pas Dieu, toi, car tu es sous le même jugement ?
Et pour nous, nous y sommes justement ; car nous recevons ce que méritent les choses que nous avons commises : mais celui-ci n’a rien fait qui ne se dût faire.
Et il disait à Jésus : Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume » (Luc 23 : 40 à 42)
Et qu’elle a été la réponse de Jésus à cet homme :
« Et Jésus lui dit: je te dis: Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 :43)
La vraie repentance est accompagnée de ses fruits ! C’est une confession totale et un revirement complet de comportement ; un rejet total du mal dans la vie.
Il n’y a pas de demi-mesure de la repentance ; pas de compromission ou de marchandage ; soit que vous devenez un homme nouveau ou soit que vous retournez manger dans l’auge des cochons !
Il y a de grandes et merveilleuses histoires d’hommes et de femmes qui ont eu l’occasion de vivre un tel changement, comme l’histoire du célèbre gangster :
James Horace Alderman était un passeur d’alcool à l’époque de la prohibition aux États-Unis. Il est devenu connu dans la presse sous des noms tels que « Roi des coureurs de rhum » et « Pirate du Gulf Stream ». Alderman est né en 1884 près de Tampa, en Floride.
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Horace Alderman le gangster
Horace Alderman fut une célébrité et une légende dans la région de Miami en Floride pendant cette période de la prohibition. Il avait un bateau si puissant et rapide que les fédéraux n’arrivaient pas l’attraper. Un jour, ils finirent par l’attraper par surprise. Sûrement après une dénonciation par un de ses concurrents jaloux qui voulait récupérer son business.
Ils étaient si furieux après lui qu’ils le clouèrent sur le pont avec deux pics à glace enfonçaient dans chacune de ses épaules comme un crucifié.
Étant sûr qu’il ne pouvait plus s’échapper, les cinq fédéraux allèrent dans une cabine du port pour fêter sa capture en buvant l’alcool qu’ils avaient confisquaient d’Horace. Ils avaient enfin attrapé le fameux gangster Horace Alderman…
Seulement, pendant qu’ils se saoulaient, Horace réussi à se libérer et prendre une de leurs armes, tuant trois des fédéraux. Ils finirent par avoir le dessus en le blessant d’une balle pour l’arrêter. Ils le ruèrent de coups, le laissant presque pour mort pour avoir tué trois des leurs.
Ils le mirent en premier dans la prison de Miami, puis ils l’amenèrent dans une prison Fédérale pour qu’il soit jugé.
Durant cette période, un célèbre homme d’affaires nommé Fred Haas, visita régulièrement Horace durant son séjour dans cette prison. Haas était un homme d’affaire chrétien qui prenait une bonne partie de son temps pour apporter l’Évangile, spécialement dans les prisons.
Mais pour visiter Alderman, il dut utiliser toutes les connaissances qu’il avait en son pouvoir pour venir le voir, car Horace était interné dans une cellule de haute sécurité.
Comme Haas était bien connu par les succès qu’il avait en prêchant aux prisonniers, les autorités compétentes finirent par lui accorder son autorisation pour visiter Horace dans sa cellule.
Au début de ses visites, Fred dut s’armer de patience, car Horace était comme un fou furieux dans sa cellule, maudissant Dieu et tous ceux qui voulaient l’approcher.
Bien qu’Horace lui jetât sa gamelle de soupe au visage, lors de sa première visite, Haas lui montra une grande dose de patience et de sagesse, et de compréhension. Il lui dit :
« Je sais que vous êtes très en colère par tout ce qui vous est arrivé, et je ne peux pas vous blâmer pour cela »
Les jours suivants, il continua de lui montrer un vrai intérêt, en ne l’abandonnant pas, et en revenant le voir autant qu’il le pouvait. Finalement, l’amour sincère de Haas gagna le cœur d’Horace Alderman, qui finit par accepter Jésus-Christ comme son sauveur.
Haas eut juste le temps d’accomplir ce miracle avant qu’Alderman soit transféré dans un grand pénitencier fédéral près de Jacksonville. C’est à ce moment-là, que la fameuse histoire d’Horace Alderman commença vraiment. Il devint un Chrétien vraiment dévoué pour prêcher l’Évangile à tous les prisonniers du pénitencier.
Dans les lignes des premières pages des journaux, on pouvait lire : « Revival in Federal Pen ! » (Renouveau religieux dans une prison fédérale)
Son zèle et sa ferveur gagnèrent de très nombreux prisonniers à la foi chrétienne, à un tel point, qu’il y avait maintenant plus de prisonniers convertis à l’intérieur qu’en dehors de la prison.
Même les gardiens de la prison furent convertis grâce à la puissance de son témoignage. Ce fut à l’époque, une vraie bombe dans tout le pays.
Dur à croire pour certaines personnes, il devint un gars avec un très grand cœur pour tous ceux qui l’approchaient. Un merveilleux exemple d’une vie changée avec l’amour de Dieu.
Mais le jour arriva de son jugement au tribunal. Il fut reconnu coupable du meurtre de trois agents fédéraux et condamné à être pendu pour ce crime. Cette affaire fit beaucoup de bruit à l’époque car beaucoup des sympathisants d’Horace ne voulaient pas qu’il soit pendu. Mais les familles des agents fédéraux tués, firent une énorme pression sur les très hautes autorités du pays pour que la sentence d’Horace Alderman soit accomplie.
Même le gouverneur de cet état ne pouvait rien faire pour lui accorder le pardon, parce que ce jugement était un crime fédéral, et que seul le président des Etats-Unis avait l’autorité de le gracier.
Mais la justice des hommes n’est pas la justice de Dieu. Il fut pendu à Fort Lauderdale en Floride, dans le district où il fut attrapé. Son exécution fut en partie publique. Quelques journalistes purent assister à sa pendaison.
Pendant son séjour dans cette prison de Floride, il commença de nouveau « un renouveau religieux », convertissant les prisonniers par dizaines autour de lui, ainsi que les gardiens.
Mr Haas le visita pour la dernière fois et l’accompagna jusqu’à la potence. Il reporta qu’Horace n’était pas nerveux du tout, mais qu’au contraire, il était heureux, remplit d’une parfaite paix intérieure.
Ce fut son plus grand témoignage avant de quitter ce monde. Tous les gardes, les gardiens de prison, et tous ceux qui étaient présents, regardaient le cœur serré, pendant qu’Horace Alderman montait à la potence. Tout le monde était nerveux et mal à l’aise à cause de son exécution. Il y avait même des personnes qui pleuraient.
Quand on lui demanda qu’elle fût sa dernière demande avant de quitter ce monde, il dit qu’il voulait qu’on lui chante un hymne chrétien. Ce que firent la plupart de ceux qui étaient rassemblés.
Juste avant que les gardes lui mettent la cagoule noire sur la tête, à côté son ami Haas, il cita les fameuses dernières paroles de Dwight L. Moody, juste avant sa mort :
« Ceci est le jour de mon couronnement ! Je vais le rejoindre et je le verrai avant vous ! »
Ils lui mirent la cagoule sur la tête et notre cher Horace s’en alla pour rejoindre Jésus et recevoir sa récompense céleste. Tous ceux qui étaient présents, les geôliers, les gardes, les journalistes ; tous furent vraiment touchés et beaucoup pleurèrent.
En conclusion : quand Horace Alderman était un criminel, il y était à 100%. Mais quand Horace reçut Jésus comme son sauveur, il devint un enfant de Dieu à 100%.
Alors, c’est bien que nous nous rappelons qu’il n’y a rien de trop dur que Dieu ne puisse pas faire pour changer le cœur d’un homme, même un criminel.
S’il y a une morale à cette histoire, nous ne devons jamais abandonner ; jamais prendre un non comme une réponse. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.
« Avec l’homme c’est impossible, mais avec Dieu tout est possible. Toutes choses sont possibles à celui qui croit » (Matthieu 19 : 26 et Marc 9 : 23)
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Voici une autre histoire célèbre de l’homme le plus riche du monde et sa conversion :
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Le multiple milliardaire ! L’histoire de John D. Rockefeller
En 1882, dans le bureau d’un journal de Pennsylvanie, aux Etats-Unis :
« Harry, je veux que tu écrives une notice sur la mort de John D. Rockefeller, le magnat du pétrole ! »
« Tu veux parler du milliardaire ? L’homme le plus riche du monde ?… Il est mort ? »
« Non, pas encore, mais ses docteurs disent qu’il n’en a plus pour très longtemps à vivre. Il est un homme vraiment malade »
« Il n’y a pas beaucoup de personnes qui vont être désolées par sa mort et le regretter ! »
« Non, mais quand cela va arriver, je veux que mon journal soit le premier à publier la nouvelle. Alors Harris, je veux que tu écrives l’histoire de sa vie, toutes les magouilles et les mauvaises choses qu’il a faite, de quelle façon il est parvenu à devenir l’homme le plus riche et le plus haï de la planète ! »
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John Davison Rockefeller est né à New York en 1839, le fils d’un pauvre colporteur. Sa famille plus tard déménage dans la ville de Cleveland, dans l’Etat d’Ohio. On peut dire que sa carrière hors du commun est passée des guenilles aux richesses…
A l’âge de 16 ans, il a commencé à travailler pour une compagnie avec un salaire de 3.50 $ par semaine. Il pensa :
« Je ne vais jamais devenir riche comme cela, je vais commencer ma propre compagnie ! »
A 19 ans, il emprunte la somme de 1.000 $ pour démarrer sa propre entreprise.
5 années plus tard, il se fait embaucher dans une compagnie pétrolière. Il devient un homme redouté dans ce dur business, craint par tous ses opposants. Il n’a pas peur d’employer certaines méthodes déshonnêtes et cruelles parfois pour arriver à ses propres fins, prêt à écraser n’importe quelle opposition !
A l’âge de 33 ans, il gagne son premier million de dollars. Sa femme l’encourage de ralentir et de profiter un peu plus ce qu’il vient de gagner. Mais son ambition ne s’arrête pas là, il veut devenir encore plus riche.
A l’âge de 43 ans, sa compagnie vend plus de 90 % du pétrole sur tous les Etats-Unis. Un jour, montrant un bâtiment de son puissant Empire à son jeune fils, il lui dit :
« Tu vois mon fils, la plus grande compagnie de pétrole au monde, c’est moi qui l’ai créé ! »
A l’âge de 53 ans, John D. Rockefeller devient l’homme le plus riche du monde ; le premier milliardaire ! Mais il a créé aussi une armée de gens qui le haïssent. A cause de cela, il doit payer une bande d’hommes armés qui doivent le protéger jour et nuit.
Mais la triste histoire de sa vie, c’est que tous ces milliards gagnés ne peuvent pas lui acheter sa propre santé !
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Un reporteur d’un journal, réussi enfin par connaître les raisons de sa maladie et de son état de santé, grâce à une personne de son entourage.
« Son état de santé l’a rendu complètement chauve, il a perdu tous ses cheveux sur sa tête. Ses sourcils et ses cils ont complètement disparu, et il est devenu maigre à
faire peur une momie égyptienne. C’est terrible de le voir dans un tel état ; les médecins lui donnent moins d’un an à vivre »
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Lors d’une conversation avec sa femme :
« La seule chose que je peux manger, ce sont des crackers et boire du lait, j’ai gagné des milliards de dollars, et c’est tout ce que je peux avaler ! »
« John », lui répond sa femme, « c’est la première fois que je t’entends admettre que l’argent ne peut pas tout acheter ! »
« Tu ne vas pas commencer à me prêcher un sermon, n’est-ce pas ? » John agacé répond à sa femme.
« Tu sais bien que c’est vrai John, qu’elle est la dernière fois que tu te rappelles d’avoir souri ? Tu sais faire plein d’argent, mais tu n’as jamais appris comment vivre ! »
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Dans sa chambre, Rockefeller commença à se poser de sérieuses questions sur son existence et son état.
« C’est vrai, je vis comme un prisonnier dans cette prison en or, protégé par des barreaux aux fenêtres et une bande d’hommes armés jusqu’aux dents pour me protéger de ceux qui veulent me tuer. Mais rien de cela ne peut me protéger contre la peur, la maladie et la mort ! »
Se regardant dans son miroir, il se dit : « Regarde-toi, tu es le plus misérable des hommes sur la Terre ! »
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Durant une autre nuit sans sommeil :
« Qu’est-ce que ma mère avait l’habitude de me dire au sujet de l’argent ? C’est quelque chose dans la Bible, je dois absolument le trouver »
Rockefeller se leva et alla dans sa bibliothèque pour chercher ce livre.
« Voilà, j’ai trouvé ! »
« Car c’est une racine de toutes sortes de maux l’amour de l’argent : ce que quelques-uns ayant ambitionné, ils se sont égarés de la foi et se sont transpercés eux-mêmes de beaucoup de douleurs » (I Timothée 6 :10)
« Oh Dieu, comme c’est vrai ! Combien loin de la foi j’ai erré. Seigneur, est-il trop tard pour moi de revenir et d’être pardonné ? S’il te plaît Jésus, aide-moi à avoir un nouveau départ dans ma vie. S’il te plaît, pardonne-moi ! Guéris-moi et laisse-moi vivre ! Montre-moi comment commencer ma nouvelle vie »
Cette nuit-là, l’homme le plus riche sur la Terre venait de ce soumettre humblement devant son Dieu, lui demandant de lui pardonner ses égarements, et de lui donner un nouveau départ.
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Le matin suivant, John D. Rockefeller était devenu un homme complètement transformé.
« Good morning, Sir ! Avez-vous bien dormi ? »
« Oui, vraiment James, pour la première fois depuis de longues années ! »
« Du lait et des crackers ? Je crois que ce matin, je vais manger des œufs, pouvez-vous m’en apporter James, s’il vous plaît ? »
« A-t-il vraiment dit « s’il vous plaît ? », pensa James interloqué.
« Oh James, je suis vraiment désolé de vous avoir appelé un idiot hier, j’avais tort, vous êtes le meilleur serviteur qui me sert. Tenez, un petit peu d’argent extra pour vous remercier. Et s’il vous plaît, demandait à ma secrétaire de préparer une conférence de presse, j’ai des déclarations importantes à dire au public ! »
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Plus tard, avec les journalistes…
« Messieurs, je vous ai demandé de venir, pour vous dire que je me retire des affaires définitivement. Comme vous le savez tous, j’ai gagné des millions de dollars, mais cela ne m’a pas apporté le bonheur et la paix dans ma vie. Avec le si peu de temps qui me reste à vivre, je planifie d’utiliser ce temps pour venir en aide
à ceux qui sont dans le besoin, en aidant le plus de gens possible.
Vous avez l’air choqué Messieurs, voyez-vous, ces longues nuits sans pouvoir dormir ont ouvert mon esprit, j’ai fini par réalisé que l’argent ce n’est pas tout, et j’ai réalisé aussi, qu’avec tout cet argent que j’ai amassé, quand je vais mourir, je ne pourrais même pas emmener une seule dime avec moi dans le prochain monde »
« Tenez mon ami, une dime pour vous ! Dite à ceux qui lisent vos journaux qu’à partir d’aujourd’hui, je vais donner une dime en argent à chaque étranger que je vais rencontrer. Dite leur aussi, que l’argent ne peut pas acheter l’amour et l’affection, ainsi que la santé et une bonne digestion. Je suis l’homme le plus riche du monde, donc je dois le savoir ! »
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A partir de ce jour-là, Rockefeller a commencé d’aider des missionnaires et des églises, ainsi que des charités et ceux qui étaient dans le besoin. Dans les journaux on pouvait lire « Rockefeller donne des millions pour aider ceux qui sont dans le besoin ! »
Il commença à retrouver la joie de vivre et sa bonne humeur, un bon appétit, un doux sommeil, ainsi que la douceur de son mariage.
« Oh John, que c’est bon de te voir sourire encore ! », lui dit sa femme.
« Chérie, maintenant, j’ai des raisons pour être heureux de nouveau. Le plus que je donne, le plus heureux que je deviens ! »
Le miracle de sa transformation venait de se réaliser ; hier, il était l’homme le plus haït, aujourd’hui, un des hommes les plus aimé !
Les docteurs lui avaient dit qu’il ne pourrait pas vivre au-delà de 54 ans, mais croyez-le ou non, il a vécu jusqu’à l’âge de 98 ans ! Dieu l’a béni en lui donnant 44 années de plus à vivre.
Durant ce temps, il a donné 750 millions de dollars pour aider les autres ; la plus grosse somme jamais donnée par un homme. (Somme que vous pouvez multiplier plusieurs fois, pour avoir sa valeur actuelle de nos jours)
Et comme il l’avait promis, il fut fidèle à sa parole en donnant une dime d’argent à chaque personne qu’il rencontrait.
(Note importante : Cet argent qu’il a donné, aujourd’hui a dix fois plus de valeur ; une dime aujourd’hui est l’équivalent d’un dollars)
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